tricot, crochet, bracelets brésiliens, bijoux avec graines et fil de cuivre
Vous trouverez parmi ces photos des modèles qui vous donneront peut-être des idées. Il y a notamment beaucoup de modèles de bracelets brésiliens en laine, que j'ai inventés.
J'ai commencé le tricot au printemps 2002 parce que ma princesse avait envie aussi, et que c'est une façon de plus d'apprendre à faire un truc avec ses mains. Ce n'est pas très dur (à condition de ne pas être trop ambitieux), ça permet parfois de faire du vide (j'ai essayé hier soir de faire ça sur fond de jazz électronique tout en essayant de contrôler la respiration, les résultats étaient intéressants), et en plus vous pouvez faire autre chose en même temps (écouter une conf, discuter...). Enfin, c'est encore une façon d'introduire un peu d'originalité, donc c'est bien.
Ceci dit, je suis conscient que tout à un coût: en tricotant, on perds par moment un degré de sensibilité, ce qui peut-être gênant, et il faut donc trouver un équilibre.
J'ai donc terminé deux écharpes rose et vert en tricot, puis j'ai commencé le crochet pendant l'été. C'est beaucoup plus varié, plus amusant, et en deux heures on peut produire quelquechose de bien, et en plus on apprend très vite: en deux mois j'avais fait une vingtaine de porte monnaie, 3 bandeaux, deux porte-feuilles, deux napperons, un bonnet...
Enfin, en travaillant au Honduras avec les enfants des rues, j'ai commencé la couture (2 pantalons et un sac) et j'ai appris à faire des bracelets brésiliens, et j'ai continué, je me suis mis à quelques techniques simples de macramé, et des artisans péruviens m'ont donné des idées pour travailler avec des graines et du fil de cuivre. Ca donne de jolis résultats, et ça ouvre des horizons nouveaux. Bientot les photos de tout ça sur ce site.
En tout cas, ce que je voulais répéter ici, c'est que c'est facile et vraiment gratifiant de produire quelquechose avec nos mains. (septembre 2003)
